lundi 30 décembre 2019

Résolutions des hommes politiques


L’année 2019 se termine, l’année 2020 montre le bout de son nez.

Le 31 décembre 2019, chacun de nous prendra des résolutions afin que sa vie et celle des autres soient meilleures.
A 70 ans, il y a certaines résolutions que je n’ai pas eu à prendre car elles étaient inutiles par exemple.

Je ne peux pas dire :

Je ne fumerai plus car je n’ai jamais fumé
Je ne boirai plus dans les cafés car je n’ai jamais bu
Je ne sortirai plus la nuit car je ne suis jamais sorti la nuit
Je ne jetterai plus de l’argent par les fenêtres car j’ai toujours été économe.
Je ne serai plus oisif car je n’ai jamais arrêté de travailler jusqu’à mes 65 ans passés.
Je ne tromperai pas ma femme car je ne l’ai jamais fait.
Je ne roulerai plus trop vite en voiture car je n’ai jamais eu jamais eu de voiture.
J’arrête ici ma liste de résolutions que je n’ai pas dû prendre. Il y a une seule résolution que je ne prendrai pas c’est celle de ne pas râler, car râler me permet de faire changer les choses que nos hommes politiques ne veulent pas faire changer.
 


Les hommes politiques devraient par exemple prendre les résolutions suivantes, en 2020 :
- Je travaillerai pour le bien-être de la population, et non pas pour mon portefeuille.

- Je prendrai des mesures afin que 
1) Tous les citoyens puissent lire et écrire
2) Il n’y ait plus de chômeurs.
3) Tout le monde ait un logement décent
4) La misère disparaisse de nos villes et campagne
5) Tout le monde ait un revenu décent
6) La ville soit propre, finis la saleté et les déchets qui traînent dans la rue
7) Les citoyens soient respectés
8) Toutes les lettres écrites ou électroniques reçoivent une réponse.
9) Toutes les plaintes soient étudiées sérieusement.
10) Les homes pour les seniors soient des lieux de vie digne et pas cher.


En attendant que toutes ces résolutions soient effectuées par nos hommes politiques, nous vous souhaitons une bonne année 2020.







mercredi 10 avril 2019

Où sont les trains ?

Promouvoir les transports en commun oui mais ACTA NON VERBA !

Tout le monde veut promouvoir les transports en commun, c’est bien mais qui fait quelque chose de concret ? Personne et surtout pas nos hommes et femme politiques !

Pendant des années les « italiens et italiennes » pouvaient utiliser les trains qui reliaient la Belgique à l’Italie, il y en avait 3 trains par jour, un au matin, un en fin d’après-midi et un de nuit.
Ils avaient comme destination Milan mais il y en avait un qui allait à Rome, un autre à Rimini, Venise ou à Gênes.


























Sans compter les trains spéciaux qui pendant les vacances de Noel, de Pâques, les grandes vacances ou autres occasions allaient aussi directement en Sicile (et la Calabre), à Lecce (donc Rimini, Pescara, Bari…) et aussi à Udine (en passant par Venise).
En avril 2019, essayez d’aller en train à Milan ou à Rome c’est mission impossible.


Il n’y a plus de train qui relie la Belgique à la Suisse et à l’Italie.

Si un « italien » veut se rendre à Lecce à partir de Bruxelles en ce 10 avril 2019 en train il doit se farcir 25 heures et 26 minutes de voyage et exécuter 5 changements (ceci sans tenir compte du prix prohibitif) pour parcourir 2.000 kilomètres ce qui pouvait faire avant en une seule étape ou avec un seul changement (à Milan).  Le site Internet utilisé a refusé d’en faire le calcul mais pour votre information Bruxelles – Bâle en train (500 kilomètres à peine) revient à 160 euros 
 

 Si vous voulez que les voyageurs prennent plus souvent le train que l’avion  il faut mettre en pratique l’expression  ACTA NON VERBA .
Il est temps de rétablir des trains internationaux qui ont fait leur preuve… pourquoi les avoir supprimés ? Sinon les voyageurs prendront encore l’avion au lieu du train et adieu vos belles promesses pour un meilleur climat