Consigne pour les canettes et les bouteilles s’il vous plaît

La Belgique n’est pas très propre, la région Wallonne est sale, Charleroi est la ville la plus laide du monde, des canettes et des bouteilles traînent partout ce qui multiplient le degré de saleté de nos villes. Depuis longtemps nous le disons, nous le mettons en pratique nous n’achetons rien en canettes…c’est notre façon de lutter contre la pollution engendrée par les canettes.

Ces photos ont été prises dans l’entité de Charleroi le dimanche 6 septembre 2015 au matin, lors de notre périple au marché dominical de Charleroi. Nous avons bien écrit périple et non pas ballade car se promener parmi les canettes est un concept inapproprié.

                                            

Mais que font l’Europe, la Belgique, la région wallonne, la ville ou les producteurs ? Car avec plusieurs lieux de décisions politiques, en citant une instance nous risquons de nous tromper.  Qui doit prendre la décision d’imposer une consigne ?

En Allemagne depuis le 1^er janvier 2013 les canettes sont consignées à 25 ou 50 centimes selon la taille.

Ce n’est pas l’Europe puisque l’Allemagne l’a déjà prise, elle n’a pas attendu une directive européenne pour le faire.

             

                                   

Ce qui se passe en Allemagne ne doit pas pousser nos hommes politiques à envisager une semaine d’étude en Allemagne et choisir une ville très éloignée de nos frontières.  Nos dirigeants pourraient avoir des idées sans copier les autres. Un peu de bon sens suffit. Nos hommes politiques devraient utiliser plus souvent l’arbre de la causalité. Les bouteilles et les canettes traînent parce qu’il n’y a pas de consigne. Les Allemands l’ont bien compris


                                 

                                    

 Et chez nous qui doit prendre cette initiative ? Une canette qui traîne, cela entraîne d’autres canettes, lorsque nous voyons une canette, nous pouvons être sûr qu’une autre va se joindre ceci est la théorie «de la vitre brisée».

                                           

Hommes politiques de tout bord, de tous les horizons, il est temps de prendre le taureau par les cornes. Ou alors retroussez vos manches, prenez une brosse et une ramassette pour nettoyer la ville !